le choix des outils

La baguette et autres outillages utilisés ont pour rôle de renseigner sur les dérangements qui se déroulent dans l’organisme en amplifiant la force de torsion naissante à chaque « saisissement » occasionné par l’induction d’un intolérable flux.
Ils sont des outils à bien choisir pour qu’ils augmentent et fassent revivre la faculté humaine de percevoir certaines radiations. Le choix d’un simple instrument très sensible et bien praticable permet la détection de tout corps, développant à la fois un champ électrostatique (excès ou déficience d’électrons) et un champ magnétiques (occasionné par un mouvement relatifs). Ces grandeurs vectorielles (champ magnétique et électrostatique) qui caractérisent chaque matière permetent de motiver prodigieusement les progrès d’estimation de profondeur, de quantité et de la nature de chaque matière source.

Bonsoir Ib, pourrais tu me donner quelques conseils pour me guider dans ce domaine?
J'aimerais beaucoup, pour ma culture personnel et ma progression dans les soins, comprendre, savoir et étudier (sur le terrain), dans ce domaine.
Lorsque j'appel les éléments (feu, eau, vent, terre) je peu les faire venir séparement ou tous en meme temps, mais lorsque j'essaie de chercher de l'eau sur le terrain, je n'y arrive pas , je ne comprends pas, pourrais tu me guider?
A bientôt,
Gibus

Salut Gibus,

Avec quels outils as-tu essayé de trouver l'eau ?

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Claude

Bonjour Claude et bien mais mains et je trouve à chaque foi, mais je n'ai pas de valeurs (du moins rarement) concernant l'orientation, la profondeur, etc....
Je ne sais pas vraiment avec quels outils travailler.
A bientôt Claude,
Gibus

Salut,

Tu trouveras ici tout ce qui pourra t'aider à faire ton choix.

De la simple baguette de coudrier, à l'antenne de lecher, mais ton choix devra se faire en fonction de tes objectifs.

Si tu es un peu bricoleur, tu pourras aussi te les fabriquer à moindre coût.

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Claude

Bonjour Claude, merci pour tes conseils !!!
Je vais essayer de les appliquer, à bientôt,
Gibus

Sans matériels modernes à quantifier et à qualifier les rayonnements, et à chaque tentative ou effort de distinction entre les corps diffuseurs d’ondes, le sourcier qui ne sait pas se servir de simples données scientifiques reste toujours fautif. De là j’ai déduit des remarques pertinentes :
1) que le fonctionnement de la baguette est physiquement réel, et qu’il est vraiment dû à la présence d’un corps « généreux » qui donne largement d’ondes sur des lignes et des surfaces proportionnelles au taux de son potentiel.
2) que les performances varient selon la sensibilité et l’habileté des opérateurs.
3) que la détection d’un corps désiré ou recherché est souvent confus ou perturbé par l’action de la matière de l’instruments utilisés ou par d’autres corps « parasites» délaissés.
4) que c’est à cause de l’accumulation des défauts provenant de la confusion des mouvements que le sourcier est pris en moquerie et en ricanement, et en fin son art est aussi préjugé ridicule, indigne, et de peu d’intérêt.
5) que la présence d’une matière quelconque, même à des grandes profondeurs, dans la terre puisse être reconnue et identifiée par toute interprétations ponctuelles des mouvement obtenus par divers instruments.
6) j’insiste à dire que la fonction du sourcier, même si elle a du mal a frayer un vrai chemin, mérite d’être soulevé et que ce phénomène qui demeure inclassable parce que personne ne le prend pour objet d’investigation et d’enquête, pourrait être abordé sous plusieurs angles pour rendre le sourcier capable d’exercer son pouvoir correctement et d’une façon reconnue. Mais, malheureusement pour le moment, il n y a aucune application des normes scientifiques en faveur de la singularité de cet art: les savants et les chercheurs ne possèdent pas la sensibilité du sourcier, et ce dernier est souvent loin des connaissances scientifiques